Nous avons rencontré un intervenant, qui est responsable technique et commercial dans le secteur du solaire et du vélo électrique, dans le cadre d’une étude sur le développement durable, précisément sur la permaculture. Nous l’avons interviewer sur son métier, ainsi que son parcours de vie, et sur sa passion : la permaculture. Aujourd’hui, dans le secteur agricole, la permaculture ne serait pas appropriée au système de production intensif de l’agriculture mondiale, car les méthodes de la permaculture ne s’appliquent pas à celles de l’agriculture intensive et vice-versa. L’ensemble de la planète pourrait dans l’éventualité se nourrir grâce à la permaculture, à condition d’être raisonnable : par exemple, avoir une ration quotidienne imposée pour ne pas dépenser toute la nourriture récoltée durant la semaine. La permaculture est en développement dans le monde entier. Ce type de production permet de produire un nombre important d’aliments frais. Monsieur Erard nous a expliqué qu’une année, il a récolté beaucoup trop de tomates pour lui tout seul : il a donc partagé avec son entourage. On peut en conclure que la permaculture possède beaucoup plus d’avantages que de désavantages, et pourrait être le nouveau mode d’alimentation de demain.