Visite de Mme Rubirola, 1ère adjoint à la mairie de Marseille dans le cadre du projet sur les protections menstruelles durables en coopération avec la ville de Dakar

Visite de Mme Rubirola, 1ère adjoint à la mairie de Marseille dans le cadre (…)

C’est dans le cadre du projet en coopération avec Dakar (Sénégal) « Agir pour la santé menstruelle » que nous avons accueilli le jeudi 23 mars, Me Michèle RUBIROLA au lycée.

Durant cette après-midi, la Première Adjointe au Maire a visité l’établissement. Elle a d’abord pu croiser l’assistante sociale, Mme Lallemand, et l’infirmière scolaire, Mme Brunson, du lycée.
Cela lui a permis d’appréhender les différentes filières professionnelles proposées à la Calade et d’avoir un aperçu des problématiques actuelles de nos jeunes et des moyens mis à notre disposition pour y répondre.

Ce fut également l’occasion pour elle et son équipe de visiter les plateaux techniques de l’établissement, d’aller au-devant des élèves de la classe de 1BMMV concernées par le projet, d’échanger avec les jeunes et leurs professeures de couture.
Ces dernières ont pu présenter leur travail au quotidien ainsi que le prototype de protection menstruelle durable élaboré en classe, à partir des tissus fournis par la ville de Marseille.

La visite s’est poursuivie au magasin du lycée avec Me Barbara et Me Pietri qui ont pu présenter cet espace où sont vendus de nombreuses confections d’élèves. L’équipe municipale a pu juger du travail fourni, des compétences et de la créativité des jeunes.

Un passage au CDI a pu leur permettre d’appréhender la variété des ouvrages mis à disposition par Mr Pagnier et la programmation culturelle (expositions, thématiques à l’honneur…)

Toute l’étendue des talents des 2DTMS exprimés en arts plastiques au côté de Mr Bailleul a pu ensuite être découvert et apprécié.

Me Ollès, coordinatrice du microlycée a également pu présenter ce nouveau dispositif accueillant des jeunes de 16 à 25 ans en situation de décrochage scolaire.
Etant une unité expérimentale, Me Rubirola et Me Drihen, sa directrice de cabinet ont pu découvrir une nouvelle façon de répondre aux difficultés de ces jeunes. Cela a suscité de nombreuses questions.