— On observe des
séquences
de conglomérats,
arkoses
et grès sur plusieurs dizaines de mètres typiques
du Rocher de Roquebrune. Ces dépôts détritiques
grossiers ont été alimentés par des coulées
boueuses contenant des
galets
de granite et de
rhyolite
provenant de l'érosion du massif des Maures situé
au sud.
— Le Rocher de Roquebrune correspond aux restes d'un vaste cône
de déjection (/
actuel)
formé dans un contexte subsident d'où la répétition
de ravinements à l'origine de chenaux et de dépots
granoclassés.