On pense souvent, et on a raison, que la cuisine est d’abord plaisir des yeux avant d’être plaisir de bouche.
Mais dans cette ronde des sens, il ne faut surtout pas oublier les oreilles, car comme dirait Dorimène dans « Le Bourgeois gentilhomme » de Molière : « C’est merveilleusement assaisonner la bonne chère que d’y mêler la musique, et je me vois ici admirablement régalée ».